Nathalie BriesenHommage
Papa,
Le chagrin m’envahit
En ce triste samedi.
Tu as fermé tes paupières,
Pour quitter à jamais cette terre,
Qui était devenue pour toi un enfer.
Je ne supportais plus ta souffrance,
Et malgré ma peine qui est immense,
Je me sens à ce jour soulagée,
De te voir enfin libéré de cette maladie,
Que tu trainais comme un boulet,
Depuis de nombreuses années.
Maintenant tu es parti loin d’ici,
Et j’ai le cœur meurtri.
Mais à la fin de ton voyage,
Quand tu atteindras les nuages,
Je sais que ma grand-mère, ta maman,
Sera là et t’accueillera.
Alors quand elle te serrera dans ses bras
Dis-lui pour moi que depuis qu’elle est partie,
Jamais je n’ai cessé de penser à elle,
Dis-lui aussi, combien tous les deux, je vous aime
Et que sans vous, la vie ne sera plus la même.
Désormais, c'est à vous deux que je penserai,
Lorsque vers les cieux je lèverai les yeux.
Nathalie