MOLENKAMP LaurianneCondoléance
Chère Francine,
C'est avec beaucoup d'émotion que j'ai appris le douloureux départ de Walther. Nous n'oublierons jamais, les enfants et moi, l'accueil chaleureux qu'il nous a toujours réservé.
Toutes mes pensées se tournent vers vous dans ces heures difficiles. Je partage votre peine mais les mots me manquent pour l'exprimer pleinement. Que ma pensée vous apporte un peu de réconfort et beaucoup de courage.
Toute mon affection.
Laurianne
" Quand je ne serai plus là, relâchez-moi,
Laissez-moi partir,
J’ai tellement de choses à faire et à voir.
Ne pleurez pas en pensant à moi,
Soyez reconnaissants pour les belles années.
Je vous ai donné mon amitié,
Vous pouvez seulement deviner
Le bonheur que vous m’avez apporté.
Je vous remercie de l’amour que chacun m’avez démontré,
Maintenant, il est temps de voyager seul.
Pour un court moment vous pouvez avoir de la peine.
La confiance vous apportera réconfort et consolation.
Nous serons séparés pour quelque temps.
Laissez les souvenirs apaiser votre douleur,
Je ne suis pas loin, et la vie continue...
Si vous avez besoin, appelez-moi et je viendrai,
Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je serai là,
Et si vous écoutez votre coeur, vous éprouverez clairement
La douceur de l’amour que j’apporterai.
Et quand il sera temps pour vous de partir,
Je serai là pour vous accueillir.
Absent de mon corps, présent avec Dieu.
N’allez pas sur ma tombe pour pleurer,
Je ne suis pas là, je ne dors pas,
Je suis les mille vents qui soufflent,
Je suis le scintillement des cristaux de neige,
Je suis la lumière que traverse les champs de blé,
Je suis la douce pluie d’automne,
Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin,
Je suis l’étoile qui brille dans la nuit,
N'allez pas sur ma tombe pour pleurer,
Je ne suis pas là,
Je ne suis pas mort."
(Prière indienne)