Claude SMETSCondoléance
La douleur que nous cause ton départ, mon cher Albert, nous fait sentir plus encore le vide qui se fait autour de nous.
Ils sont loin de nous déjà les soupers et réunions avec des Albert Limborg, des Emile de Laroche et combien d'autres.
J'aime me rappeler l'Albert que j'ai trouvé un jour, par hasard, planté solidement dans le sable à Westende, face à la mer, et à qui je demandais :
T'exerces-tu face au flot comme Démosthène?
Et, un livre à la main, il me répondit:
Je relis les philosophes.
Maintenant , mon cher Albert, tu les as rejoints pour l'éternité.
Claude Smets